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« fétichisme »

Amours plastiques, mode d’emploi

25 septembre 2007, posté par Stahlhelm

He’s love capable. She’s inflatable. The most epic love story ever.

Pour toi qui te sens seul dans la vrai vie réelle, qui relis La couleur tombée du ciel une fois par mois et qui n’as que des copines éphémères sur Yahoo Messenger, LiLeLa se démène jour et nuit pour t’aider à trouver le sens de la vie. Et là, on n’est pas tombé loin.

Anzhela est un film chantant les amours solitaires du Moscovite pas timide Alexey Diakov et de sa copine artificielle :

Merci Hugo Strikes Back.

LEGOrgie

25 juillet 2007, posté par Stahlhelm

De retour de la chasse
De retour de la chasse © [Soren], 2005

Tout petit encore, [Soren] bavait sur les cafignons de son élégante maman. Nous aussi, évidemment. Plus tard, il avait appris à se servir d’un mouchoir de soie pour essuyer ledit filet de la honte. Là, pour nous, tout dépend de notre éducation.

Ensuite, le temps passa et pas à pas les petits doigts boudinés de M. [Soren] eurent très vite envie de se surpasser et le précoce petit chérubin demanda à sa divine maman de lui acheter la dernière boîte géante de Lego. C’est là que l’évolution a commencé à faire son travail au ciseau le plus fin et a séparé le génie de [Soren] de nos créations briquées certes maigres, mais dont nous étions si fiers.

Space Booster
Space Booster © [Soren], 2005

Mr. Choppy
Mr. Choppy © [Soren], 2005

Aliens
Aliens © [Soren], 2005

Plus de jouissance encore du côté de chez un autre gaga de Lego, jonpalmer.

Merci Akihabara News.

A la force de la sueur de leurs jeunes cuisses de lait

24 juillet 2007, posté par Stahlhelm

Etalage de petites culottes usagées
Etalage de petites culottes usagées © hazy jenius, 2006

Les petits gars du côté de chez STEREO⇔TOTAL, vétérans de la scène electro-synth-wave-punk-pop berlinoise, nous expliquent que la réalité du business dépasse souvent la pureté de nos cœurs fragiles et adolescents.

Je sais bien que sous ton apparence de geek intello propre en ordre et fan d’outlets, tu caches une noire fascination sans fond pour ces petites culottes encore tièdes portées par de jolies petites écolières japonaises au sourire en coin si charmant.

Or savais-tu qu’il existe bel et bien une industrie du slip avec traces de frein au pays où le soleil ne se couche que par respect pour les néons de la nuit ? Paraîtrait que ça se vendrait même dans des distributeurs automatiques. Miam. Sauf que nous, chez LiLeLa, on préfère quand même être sûr que les sous-vêtements en question ont bien été portés lors d’une nuit repostante et chaste.

Au fait et pour la petite histoire, voici une jolie collection de distributeurs automatiques nippons soit pratiques, soit bizarres.

Merci ectoplasmosis.

Firefly

27 juin 2007, posté par Stahlhelm

Les dames de Firefly
Les dames de Firefly

Cet alléchant étalage de cuisses trop bien galbées et de crinières non-blondes me rappellent les honteuses et moults fois où en matant Firefly j’ai dû changer de sous-vêtements, que ce soit en raison d’attaques de suée de suspense intempestives ou de l’acharnement incessant de vilains guilis dans mon slip.

Firefly est donc une série américaine de science-fiction/western/space opera présentée sur FOX en 2002 (c’est vieux je sais) et c’est probablement la série la plus simple, la plus efficace, la plus divertissante et la plus pirate de l’univers audiovisuel depuis Thunderbirds.

Des putes (qui peupleront les rêves humides de ceux parmi nous qui soulèvent encore les jupons de maman), des cowboys aux bottes de cuir souple, des traîtréros repentis, de jeunes médecins à la mèche rebelle, des moines combattants, une petite sœur fêlée mais combattante, on y trouve de tout.

Et si on se convainc mensongèrement qu’à chaque épisode les cuisses mentionnées ci-dessus s’écartèrent impunément en s’empruntant lesdites cuissardes souples les unes les autres, on arrive sans effort à suivre la seule et unique (sic) saison de cette série bien hors du commun, je vous le dis.

Et pour ceux d’entre vous que maman n’aura pas punis d’un revers de main bien placé, la vie brêve de Firefly fut couronnée d’un film aussi délicieux que la série: Serenity.

Firefly
La crew orgiaque de Firefly avec son capitaine assis qui cache son malaise d’une leste jambe croisée

La taille fond d’écran des jambes se trouve ici.

Pas touche, mais en uniforme

22 juin 2007, posté par Stahlhelm

Maid café
Photo © kokorohamoe, 2006

Tout le monde est au courant que le Japon est le pays des maid cafés, du cosplay et de l’oden en boîte.

Or, aujourd’hui, en ces temps d’horrible violence gratuite et d’extrême torpeur amoureuse, une nouvelle porte vers le bonheur vénal s’offre à nous autres, touches-pipi frénétiques mais top timides : un service de location de soubrettes (en uniforme complet) aux côtés desquelles le chaste client peut s’endormir tout la nuit pour JPY40’000.-.

Si, si, vous avez très bien lu : c’est juste pour dormir à côté d’une petite Japonaise maigrichonne qui cache sa calleuse ossature derrière une panoplie de noirs et de blancs bien harmonieux. Et pas question de lever ne serait-ce que votre petit doigt en direction de la demoiselle. Non. C’est pas touche ! Le seul échange possible, mis à part celui de mots doux, est celui de vos humidités corporelles respectives par capillarité aéroportée.

Site officiel (apparemment le club est toujours à la recherche de volontaires).

Merci Japan Probe.


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