Sang d’encre
31 janvier 2008, posté par Marc
Étienne Dumont. Photo © Steve Iunker, 2007
À l’heure du piercing pour minettes et du tatouage post-adolescence généralisé, rares sont les aficionados de la transformation physique qui osent passer le cap — radical — de la modification du visage. Élément d’intégration sociale, principal moyen d’identification, mode d’expression de la personnalité de chacun, le visage demeurera pour la majorité des tatoués un territoire vierge de toute colorisation.
Certains ont osé faire le pas, franchissant la frontière du col de chemise au-delà de laquelle seuls quelques Polynésiens se risquaient parfois. C’est notamment le cas d’Étienne Dumont, journaliste à la Tribune de Genève. C’est aussi le cas d’une certaine Julia Gnuse, Californienne atteinte de porphyrie qui a préféré se faire tatouer, de la tête aux pieds, plutôt que de laisser sa peau se boursoufler sous le seul effet de la lumière du soleil.
Pour les adeptes du site Modblog, rien de nouveau. Pour les autres, un article (un top ten) pourra servir d’introduction au sujet, celui de Deputydog, un blogue consacré principalement à l’architecture et au design. C’est ici, et c’est en anglais, of course.
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art, Étienne Dumont, divers machins, Julia Gnuse, piercing, porphyrie, scarification, tatouage.
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Le 31 janvier 2008 à 9:33
Après E.T. dans le précédent billet, voici Hellboy. Bravo à LiLeLa de résister encore et toujours à l’envahisseur Astér*x.
Le 8 février 2008 à 4:33
LiLeLa ne résiste pas, LiLeLa épouse et ingurgite. Tu as des news sur Astér*x? 🙂