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« space opera »

En final de compte, la taille importe toujours

31 juillet 2007, posté par Stahlhelm

Taille des vaisseaux spatiaux S.-F.
Taille des vaisseaux spatiaux S.-F.. Cliquez pour mieux voir

Bien souvent, je me suis demandé pourquoi les personnages de Star Trek et autres super-héros aiment tellement à parader en collants multicolores. Est-ce pour nous faire partager l’alléchant galbe musclé de leurs jambes athlétiques ? Ou bien au contraire, essaient-ils de mettre en valeur l’importance de leur organe à guilis dans le slip dans un élan désespérant de reconnaissance sociale ? La balance pencherait plutôt du côté de la seconde hypothèse.

Serenity
Serenity, 63m, de la série Firefly

Il s’avère effectivement que l’assurance d’une notoriété éternelle en S.-F. ne serait qu’une question de taille et de savoir qui aurait le plus gros, plus long et plus rutilant vaisseau. Ben si ! Et si vous ne me croyez même pas, jetez un coup d’œil à ce site parfait pour les gagas de S.-F. et/ou de data mining.

Croiseur Vorlon
Croiseur Vorlon, 1338m, de la série Babylon 5

Comme son petit nom l’indique, Starship Dimensions consacre l’intégralité de ses pages à comparer la taille de personnages et de vaisseaux fameux du monde de la S.-F.. Et, une fois n’est pas coutume, LiLeLa, ainsi que Jeff Russell, vous recommandent de zieuter la bête dans Internet Explorer afin de savoir profiter pleinement de l’option glisser-déposer permettant de mettre les objets de notre frustration côte à côte pour plus de clareté.

Rancor
Rancor, 5m, du Retour du Jedi

Merci my [confined] space.

Firefly

27 juin 2007, posté par Stahlhelm

Les dames de Firefly
Les dames de Firefly

Cet alléchant étalage de cuisses trop bien galbées et de crinières non-blondes me rappellent les honteuses et moults fois où en matant Firefly j’ai dû changer de sous-vêtements, que ce soit en raison d’attaques de suée de suspense intempestives ou de l’acharnement incessant de vilains guilis dans mon slip.

Firefly est donc une série américaine de science-fiction/western/space opera présentée sur FOX en 2002 (c’est vieux je sais) et c’est probablement la série la plus simple, la plus efficace, la plus divertissante et la plus pirate de l’univers audiovisuel depuis Thunderbirds.

Des putes (qui peupleront les rêves humides de ceux parmi nous qui soulèvent encore les jupons de maman), des cowboys aux bottes de cuir souple, des traîtréros repentis, de jeunes médecins à la mèche rebelle, des moines combattants, une petite sœur fêlée mais combattante, on y trouve de tout.

Et si on se convainc mensongèrement qu’à chaque épisode les cuisses mentionnées ci-dessus s’écartèrent impunément en s’empruntant lesdites cuissardes souples les unes les autres, on arrive sans effort à suivre la seule et unique (sic) saison de cette série bien hors du commun, je vous le dis.

Et pour ceux d’entre vous que maman n’aura pas punis d’un revers de main bien placé, la vie brêve de Firefly fut couronnée d’un film aussi délicieux que la série: Serenity.

Firefly
La crew orgiaque de Firefly avec son capitaine assis qui cache son malaise d’une leste jambe croisée

La taille fond d’écran des jambes se trouve ici.


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