Archives pour la tagégorie
« super-héros »

Actione, Velocita, Terrore, Suspenso, Romanza, Goblin

5 février 2008, posté par Stahlhelm

Italian Spiderman

Le cinéma italien dans toute la splendeur de sa plus grande époque. 1964 annonçait l’avènement du film le plus influent de l’année 1964 entière : Italian Spiderman, vengeur masqué, bedonant, altruiste, en collants rouges, féministe mais pas trop. Tout un programme aux effluves de bon café du sud.

Alrugo Entertainment Presents: ITALIAN SPIDERMAN: Meet Italian Spiderman, the only thing he likes more than women and booze is smokes and booze, with women on the side. Raised in a flour mill in Palermo, at an early age Spiderman dicovered he could fly, and communicate with animals. He utilised his talents to start a company that perforated sheets of stamps. It went bankrupt in several days. He then took to a life of fighting crime…and snakes. ‘Italian Spiderman’ debuted at the Venice Film Festival in 1964 to rave reviews from the cinema community, famous critic and oil mogul Giordano Del Massi described Italian Spiderman as: « A real tour de france…un sacco di azione » This seminal piece of Italian cinema is credited as one of the most influencial films of the 20th centry and set the benchmark for modern cinema as we know it.

Zombies en collants

4 février 2008, posté par Stahlhelm

Marvel Zombies - Captain America
© 2007 Marvel Characters, Inc.

Personnellement, l’univers des héros des Marvel Comics ne m’ont jamais titillé outre mesure, même durant ma plus tendre enfance. Leur récente (2005) série Marvel Zombies risque bien de changer ma vision de la chose.

Marvel Zombies
© 2007 Marvel Characters, Inc.

Le concept est de reprendre les héros de l’univers et de les zombifier pour le plaisir et les guilis de nous autres, amateurs d’éphèbes musculeux en pleine décomposition, assoiffés de sang et de vengeance aveugle et en collants.

Et pour les pires, voici un petit résumé sous forme de teaser pour un film qui n’existera malheureusement jamais :

Merci Desperate Zombie.

En final de compte, la taille importe toujours

31 juillet 2007, posté par Stahlhelm

Taille des vaisseaux spatiaux S.-F.
Taille des vaisseaux spatiaux S.-F.. Cliquez pour mieux voir

Bien souvent, je me suis demandé pourquoi les personnages de Star Trek et autres super-héros aiment tellement à parader en collants multicolores. Est-ce pour nous faire partager l’alléchant galbe musclé de leurs jambes athlétiques ? Ou bien au contraire, essaient-ils de mettre en valeur l’importance de leur organe à guilis dans le slip dans un élan désespérant de reconnaissance sociale ? La balance pencherait plutôt du côté de la seconde hypothèse.

Serenity
Serenity, 63m, de la série Firefly

Il s’avère effectivement que l’assurance d’une notoriété éternelle en S.-F. ne serait qu’une question de taille et de savoir qui aurait le plus gros, plus long et plus rutilant vaisseau. Ben si ! Et si vous ne me croyez même pas, jetez un coup d’œil à ce site parfait pour les gagas de S.-F. et/ou de data mining.

Croiseur Vorlon
Croiseur Vorlon, 1338m, de la série Babylon 5

Comme son petit nom l’indique, Starship Dimensions consacre l’intégralité de ses pages à comparer la taille de personnages et de vaisseaux fameux du monde de la S.-F.. Et, une fois n’est pas coutume, LiLeLa, ainsi que Jeff Russell, vous recommandent de zieuter la bête dans Internet Explorer afin de savoir profiter pleinement de l’option glisser-déposer permettant de mettre les objets de notre frustration côte à côte pour plus de clareté.

Rancor
Rancor, 5m, du Retour du Jedi

Merci my [confined] space.

Superman, saboteur excellent

18 juillet 2007, posté par Stahlhelm

Superman et Loïs, main dans la main

On le sait, Superman, l’homme d’acier qui sait tordre l’acier de ses petits doigts boudinés, aime quand même bien Lois Joanne Lane et ses longues jambes gainées de nylon d’antan. Et il ferait tout pour les sauver des mains graisseuses et collantes de l’ennemi de la démocratie.

Il serait même aller jusqu’à accompagner la belle du côté de Yokohama en 1942 pour la protéger des longues incisives à binocles qu’étaient les méchants Japonais impérialistes de l’époque et en profiter pour foutre le bordel à sa manière parmi les rangs serrés de l’armée nippone. Eleventh Hour (« Onzième heure ») est une petite perle de propagande américaine de 1942 qui nous montre qu’il suffit parfois juste de tirer sur l’ancre d’un destroyer pour le faire couler.

Eleventh Hour (1942)

Et pour finir en beauté, voici une autre jolie récupération youtubienne d’un film animé de propagande américain sur le Japon de la Seconde Guerre Mondiale. Attention, c’est du bon vrai racisme cru d’antan. On y apprend même, via une apparition fortuite du général professeur Hideki « Rasoir » Tōjō, que les Japonais mangeaient du papier.

Tokio Jokio (1943)

Merci Japan Probe.


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