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« musique »

Gigue en orange

20 juillet 2007, posté par Stahlhelm

Centre provincial de détention et de réhabilitation de Cebu
Centre provincial de détention et de réhabilitation de Cebu

Même avec ce cœur post-corbeau, new wave lisse et néo-indus martial que cache bien ma calvitie plus que naissante, le Thriller de Michael Joseph Jackson me fait aujourd’hui encore frissonner dans le ventre. Comme si une petite gigue malsaine s’emparait de mes reins et me donnait envie de me dodeliner devant plein de monde sans gêne.

Or, le web est de retour avec une incroyable perle youtubée mettant en scène 1500 détenus du Centre provincial de détention et de réhabilitation de Cebu aux Philippines répétant leur version dansée des spasmes morts-vivants du héraut de la pop.

Les vrais fans auront du plaisir à retrouver d’autres performances déhanchées des mauvais garçons ici. On y croisera notamment une belle version chorégraphiée de Radio Ga Ga des regrettés Queen.

Merci ectoplasmosis.

Payer, payer et payer encore

13 juillet 2007, posté par Marc

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Image © Fugly, 2006

La Suisse, paradis fiscal ? Certainement pas pour le consommateur lambda. Le Tribunal fédéral (TF), l’autorité judiciaire suprême de la Confédération helvétique, vient d’autoriser la Suisa (l’organe en charge de la perception des droits d’auteur) à surtaxer les lecteurs MP3. Pour ce faire, il a débouté le recours que les distributeurs de matériel électronique avaient déposé auprès de lui en début d’année.

À partir du mois de septembre, les importateurs d’iPod et autres Ersatz d’iPod devront s’acquitter de 12 à 30 francs suisses (7.30 à 18.15 euros) de surtaxe sur les baladeurs numériques. Quant à eux, les enregistreurs DVD se verront gratifiés d’une augmentation de 90 francs suisses (54.45 euros). Bien entendu, au final, ce sera au chaland de payer tout ça de sa poche (vous ne vous faisiez tout de même pas du souci pour les importateurs, non ?).

En bref, quand le citoyen Ducommun achètera un album sur l’iTunes Music Store suisse, il payera des droits d’auteurs. Quand il achètera un iPod, il payera à nouveau une taxe à la Suisa. Enfin, quand il gravera une galette pour sauvegarder son achat, il délestera encore une fois son larfeuil : en Suisse, même le vide relève de la propriété intellectuelle, les CD vierges destinés à l’enregistrement de musique (les mêmes que les autres) étant aussi sujets à des surtaxes de la Suisa.

La Suisse, Walhalla des économes ? En tout cas pas des mélomanes.

Pas merci la Suisa

Une chanson drôlement raciste

12 juillet 2007, posté par Marc

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Sarah Silverman dans Jesus is Magic. Photo © Black Gold Films, 2005

Sarah Silverman, en plus de la beauté, a hérité de tous les dons de la terre : elle est comédienne, écrivain et chanteuse. Née le 1er décembre 1970 à Bedford, dans le New Hampshire, elle s’est spécialisée dans l’humour et la satire, traitant sans complexe de thèmes aussi tabous que le racisme, le sexisme et la religion. Elle s’est notamment illustrée dans la caricature de jeunes bourgeoises juives (que les Étasuniens surnomment péjorativement JAP). Pour ceux qui en douteraient encore, rappelons que Sarah Silverman a un alibi qui la dédouane de tout soupçon d’antisémitisme : elle est elle-même juive.

Elle a acquis une grande notoriété en 2005, lorsque son spectacle en solo, Jesus is Magic, a donné lieu à un film du même nom tourné par Liam Lynch. Sarah s’est également trouvée au centre de nombreuses controverses issues des différentes communautés étasuniennes. On lui doit notamment cette étonnante sortie qui illustrera bien le goût piquant de son humour :

« Tout le monde accuse les Juifs d’avoir tué le Christ ; les Juifs à leur tour rejettent la responsabilité sur les Romains. Je suis l’une des rares personnes qui pensent que c’est la faute des Noirs. »

“Everybody blames the Jews for killing Christ, and then the Jews try to pass it off on the Romans. I’m one of the few people who believe it was the Blacks.”

Sarah Silverman est aujourd’hui le personnage principal d’une série télévisée sur la chaîne câblée Comedy Central : The Sarah Silverman Program. Dans cette émission, qui a débuté en février de cette année et qui connaît un franc succès, Sarah joue son propre rôle, à cela près que dans la série, son personnage est à la fois chômeuse, immature et irresponsable.

Je suis tombé l’autre jour sur le clip d’une chanson de Sarah datant de l’année passée : I Love You More Than… Comme vous le découvrirez en visionnant la vidéo ci-dessous et en lisant quelques paroles extraites de la chanson (traduites très littéralement par mes soins), Sarah n’a pas peur de dégommer avec entrain le « politiquement correct » étasunien.

Cela dit, quelques esprits chagrins ont prétendu que Mlle Silverman était raciste. Vous voulez mon avis ? Ils n’ont rien compris.

Traduction littérale (extraits) :

Mon amour pour toi est plus fort que celui des ours pour le miel.
Mon amour pour toi est plus fort que celui des Juifs pour l’argent.
Mon amour pour toi est plus fort que les Asiatiques en mathématiques.
Je t’aime même si c’est démodé.
Mon amour pour toi est plus fort que les Noirs qui ne donnent par de pourboires.
Je t’aime autant que [l’acteur] Gary Busey.
Mon amour pour toi est plus fort que celui des gouines pour la chatte.
Je t’aime encore plus que le bong monstrueux qui clôt mes spectacles,
Mais peut-être n’est-ce que [l’héritière] Patty Hearst qui s’acoquine avec ses ravisseurs,
Peut-être n’est-ce que des mineurs sud-africains qui tuent les bandits-rappeurs qui portent leurs diamants,
Peut-être est-ce comme les mecs noirs qui entre eux s’appellent « nègres ».

Texte original (extraits) :

I love you more than bears love honey.
I love you more than Jews love money.
I love you more than Asians are good at math.
I love you even if it’s not hip.
I love you more than black people don’t tip.
I love you like Gary Busey.
I love you more than dykes love pussy.
I love you more than my after-show monster bong hit
But maybe it’s Patty Hearst siding with her kidnappers
Maybe it’s South African miners killing, diamond wearing gangster rappers
Maybe it’s like when Black guys calling each other niggers.

iTunes contre Universal. Qui est David et qui est Goliath?

4 juillet 2007, posté par Yves

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Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais j’apprécie depuis des années les stratégies d’Universal sur Net. Ça m’a pris en 2000 avec la création de Vizzavi. Rappelez-vous, c’était le portail WAP lancé en grandes pompes par Vivendi Universal et qui avait pour ambition de détrôner Yahoo! à coups de millions d’euros dépensés dans tous les sens, mais qui (après avoir cumulé en 2000 et 2001 près de 470 millions de pertes) a finalement accéléré l’éclatement de la bulle à la place… Oui oui, c’est bien de cet Universal là que je veux parler. J’y reviens dans une seconde.

Alors il a une dizaine de jours on apprenait qu’iTunes Music Store, le magasin de musique en ligne d’Apple est maintenant classé 3e vendeur de musique étasunien. Non pas « vendeur de musique en ligne », mais bien « vendeur de musique tout court ». C’est une étude publiée par NPD Group MusicWatch sur les ventes en ligne et en vrai qui dévoile que le magasin virtuel de la Pomme couvre 9.8% des ventes de musique pour tout les US, et a dépassé Amazon.com par exemple, qui n’atteint que 6.7%. (C’est toujours les géants Walmart et Best Buy qui restent en tête avec 15.8% et 13.8% respectivement, mais c’est pas une surprise et c’est pas le sujet.)

Ça, c’était la news du 22 juin dernier. On saute une semaine en avant, et on arrive pile poil sur le week end dernier, premier jour de vente de l’iPhone, le téléphone portable de la Pomme sur les ventes duquel les prédictions étaient un peu mitigées. Et bien ne mitigeons plus: c’est un demi million de ces petits machins qu’Apple a vendu pendant son premier week end. Avec une jolie montée de la sauce marketing et des acheteurs qui faisaient la queue pour être sur d’avoir d’en avoir un, Apple a été malin de stocker plus que prévu pour être sur que tout le monde repartirait avec son téléphone.

Maintenant, n’oublions pas que l’iPhone c’est un iPod avec des fonctionnalités de téléphone. Ou l’inverse, mais c’est un iPod de toute façon. Et avec un iPod, n’en déplaise à certains, le plus pratique pour gérer sa musique, c’est d’utiliser iTunes, et dans iTunes il y a iTunes Music Store.

Mais vous me direz que ça ne touche que le marché des écouteurs de musique américains pour l’instant, et qu’on se plaint en Europe que l’iPhone n’est pas 3G, et qu’on ne veut pas être forcé de prendre le seul réseau choisi par Apple. Et je vous répondrai que les effets d’annonces se poursuivent pour préparer le marché européen justement. D’abord on apprend que l’iPhone de ce coté-ci de l’Atlantique sera 3G, et ensuite qu’il sera offert par plusieurs fournisseurs d’accès. Ça commence bien. Encore plus d’utilisateurs d’iPhones, encore plus d’utilisateurs d’iTunes, encore moins de raison d’aller chercher ailleurs. Apple a bien préparé ses devoirs et ils ont 2 ou 3 coups d’avances sur la compétition.

Mais pas tout le monde pense comme ça. Deux jours après, alors qu’Apple savoure son succès, Universal Music Group (UMG) annoncent qu’ils veulent renégocier leur arrangement avec iTunes Music Store, qu’ils veulent un contrat mensuel plutôt qu’annuel, et on imagine qu’ils aimeraient bien avoir un deal comme ils avaient eu avec le Zune de Microsoft qui leur verse $1 par lecteur mp3 vendu par exemple. C’est sans doute le pire moment pour renégocier, et la seule carte qu’UMG peut jouer c’est qu’ils sont le label de U2, mis en avant dans les pubs pour l’iPod…

Mais faisons confiance à Universal pour bien préparer leur coup et péter la gueule de leurs concurrents, comme Vizzavi l’avait fait avec Yahoo! à l’époque. Ça a déjà bien commencé avec l’annonce de leur nouveau portail de contenu (payant), passée un peu inaperçue en mai dernier. Attendons-nous à voir une campagne de pub à la mesure de leurs ambitions (et de la bulle Internet de l’an 2000) dès l’automne.

Stormtrooper en folie

2 juillet 2007, posté par Stahlhelm

Une petite perle youtubée avant d’aller me coucher la queue entre les jambes. Danny Choo en costume de stormtrooper impérial nous offre un funky happening chorégraphique en plein Tokyo.

L’autre jour. M. Choo avait également posé en Darth Vader dans le métro tokyoïte. Une folie.

Darth Vader dans le métro
Photo © Danny Choo, 2007

Merci Japan Probe.

Le silence, enfin

29 juin 2007, posté par Marc

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Une petite Whisperroom, photo © WhisperRoom Inc., 2007

Vous avez des gosses. À l’époque où vous vous réjouissiez de leur venue, vous ne saviez pas (encore) que le plus grand inconvénient que représentent ces petits monstres sur pattes est l’amplitude de leur voix. Vous ne vous en doutiez tellement pas que le jour de leur naissance, vous avez même trouvé leur cri primal plutôt charmant. Aujourd’hui, après des nuits et des nuits sans sommeil, vous accusez une baisse d’audition, un acouphène et une diminution de votre tolérance vis-à-vis de l’humanité en général. Réjouissez-vous ! Quelques philanthropes étasuniens ont trouvé le moyen de retrouver, en quelques secondes, ce dont parlaient Simon et Garfunkel en 1964 : The Sound of Silence.

La société WhisperRoom Inc., basée à Morristown, dans le Tennessee, construit des cabines isolantes qui ne laissent passer aucun bruit. Faites de panneaux très lourds (plus c’est lourd, plus c’est sourd), ces petits paradis acoustiques vous protégeront de la vie sur terre et vous permettront, suivant leur taille, de vous adonner au repos, à la contemplation musicale ou… à la navigation sur Internet.

Léger nuage gris dans ce paysage de béatitude : le prix de ces boudoirs. Le modèle de base vous coûtera la bagatelle de 2760 dollars (2050 euros). Mais, comme vous en conviendrez ce soir en revenant du boulot, la parole de vos mômes est d’argent, mais leur silence est d’or. À bon entendeur.

Merci The Red Ferret Journal

Ta soeur et moi, ça te dérange ?

28 juin 2007, posté par Stahlhelm

The Maggot, alias hip hop vampire, alias dame margot fonteyne
The Maggot, alias hip hop vampire, alias dame margot fonteyne

Ça y est, je vais me lancer à bras raccourcis dans cette folle aventure qu’est le striptease mental et blogué devant vos millions de paires d’yeux incrédules. Mon esthéticienne me répétait depuis moult mois déjà qu’un jour j’aurais mes 300 mots de gloire.

Billy Web, alias tim westcountry, alias the optician, alias dvs
Billy Web, alias tim westcountry, alias the optician, alias dvs

Et elle avait raison. Un petit voyage en 1re classe avec les CFF en direction de ma patrie lacustre et voilà que je me lance, la queue entre les jambes (sic).

Je savais bien qu’un jour viendrait où une incontrôlable fièvre altruiste me tourmenterait jusqu’à ce que j’avoue ma coupable passion pour cette perle hip-hop hybride qu’est Goldie Lookin Chain, horde bestiale de pâles hérauts fumivores perdus dans les verts bois serrées du Pays de Galles.

Mystikal, alias the alchemist, alias dr. boris gobshite, alias the druid
A droite: Mystikal, alias the alchemist, alias dr. boris gobshite, alias the druid. A gauche: ?

Bon, que dire d’autre si ce n’est que GLC n’est ni fait pour les âmes sensibles, ni pour mes grands mères (c’est quand même en gallois méridional). Pour vous donner une idée concrète du concept de GLC, vous pourriez prendre une once de Beastie Boys de l’époque License to III (lll ???), l’engagement politique et la côte est en moins, y rajouter un 12 tonnes de stade anal avec les doigts, un tantinet de drogues douces et de houblon à l’hectolitre, un demi-volume du dictionnaire romand traduit en gallois et PAF ! vous aurez une crew GLC dans les dents, le goût en plus.

Mike Balls, alias hardest man in soccer violence
Mike Balls, alias hardest man in soccer violence

Bon, je suis bien d’accord : GLC n’est pas le meilleur moyen de perfectionner votre niveau d’anglais à moins que vous ne désiriez vous spécialiser dans les différentes versions de vomi parlé gallois, grosse discipline des joutes juvéniles locales. Mais bon, on ne rechignera pas à bénéficier de quelques heures de délassement mental et de délire verbal et scatologique. Je vous le jure.

P Xain, alias dwain xain zedong, alias zardoz, alias ganja bizniz, alias rhys from the band
P Xain, alias dwain xain zedong, alias zardoz, alias ganja bizniz, alias rhys from the band

Concours : LiLeLa offre un coffret anti-lycanthrope à celui qui me traduira dans son intégralité Maggot’s Stand Out (in The Manifesto, 2003). Euh, en fait non du coup.

Ô mon dieu, c’est tellement dur de mettre des photos avec de telles couleurs en étant un corbeau. A l’aide.

Des boutons au soleil

25 juin 2007, posté par Marc

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Photo © China Web, 2007

Allez, une fois n’est pas coutume, je vous sers un petit gadget de derrière les fagots qui, cette fois, ne devrait pas déplaire à celle qui partagera avec vous vos deux mètres carrés de sable, cet été : un bikini (coréen) équipé de commandes pour l’iPod.

Le long du décolleté, les boutons de volume (sic), de changement de morceau (sic bis) et de pause se dessinent élégamment, ne gâchant rien au panorama de chair qui surplombe l’abîme. Profitez-en ! Exemple pratique : vous écoutez nonchalamment Sturmpercht sur la plage, ayant préalablement piqué le lecteur de votre copine. N’hésitez plus à changer de morceau et à augmenter le volume… pour le plus grand bonheur d’icelle.

Bien entendu, il existe aussi un modèle pour hommes. Je veux dire pour les hommes qui ne partiront pas à la mer, cet été : le costume commercialisé par Marks & Spencer. Un vrai bonheur, au soleil.

Merci China Web

Vrai-faux concert mythique pour sauver la planète

13 juin 2007, posté par Yves

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Alors d’un côté on a une multinationale qui fait de l’événementiel à vocation écologico-humanitaire et qui en profite pour faire un peu de promo pour son pseudo iPod qui aurait mérité un peu plus d’originalité, et de l’autre on a un cinéaste de talent, son documenteur (faux documentaire) décapant, et des dialogues cultes à en oublier sa vessie…

– The numbers all go to eleven. Look, right across the board, eleven, eleven, eleven and…
– Oh, I see. And most amps go up to ten?
– Exactly.
– Does that mean it’s louder? Is it any louder?
– Well, it’s one louder, isn’t it? It’s not ten. You see, most blokes, you know, will be playing at ten. You’re on ten here, all the way up, all the way up, all the way up, you’re on ten on your guitar. Where can you go from there? Where?
– I don’t know.
– Nowhere. Exactly. What we do is, if we need that extra push over the cliff, you know what we do?
– Put it up to eleven.
– Eleven. Exactly. One louder.
– Why don’t you just make ten louder and make ten be the top number and make that a little louder?
[pause]
– These go to eleven.

Il se trouve que Microsoft organisent une série de concerts un peu partout dans le monde pour lutter contre le réchauffement de la planète. C’est sponsorisé par Chevrolet et je serais pas prêt a parier que les concerts seront tous « unplugged » et éclairés à la bougie, mais on va pas pinailler sur des détails paradoxaux quand même. Mais alors pourquoi je parle de ça ici, c’est parce que quelqu’un a eu la bonne idée de réunir les Spinal Tap pour participer à cet évènement. Et comme ce n’est pas forcément pour leur musique qu’on a envie de les voir, Rob Reiner a fait un petit film de 15 minutes pour introduire la chose et s’amuser un peu. La page spéciale sur le site de Live Earth a un lien vers la vidéo en question.

RATM 82407

7 juin 2007, posté par Jul

RATM 82407

J’ai envie de sauter en l’air tout partout.
Non, ce n’est pas l’accueil de cette news qui me met dans cet état là, je n’ai jamais été ce genre de fan.

Un drôle de compte à rebours tourne depuis quelques heures sur ratm82407.com.
Si mes calculs sont corrects, il va se passer quelque chose le 11 juin 2007 et le 24 août 2007.

Comme en politique c’est sur Wikipedia que cette annonce rebondit.

Je parle de Rage Against The Machine, le groupe que j’ai le plus aimé lorsque j’étais un adolescent.
À l’époque j’ai assisté à tous leurs concerts parisiens, et je ne les ai jamais vus donner sur scène, l’énergie qu’ils avaient réussi à mettre dans leurs albums.

La rumeur parle d’annonces relatives à des concerts en Europe.

Je ne sais pas si j’ai vraiment envie de voir les quatre membres du groupe se retrouver en studio, mais ce que je sais c’est que j’ai envie de les voir bons sur scène, et de sauter en l’air tout partout.

Via NME


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