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« art »

La nouvelle race

31 octobre 2007, posté par Stahlhelm

La Nuova Razza

Il n’y a pas trop longtemps, Children of Men nous dépictait un futur tout sauf rose dans lequel l’humanité aurait perdu sa fertilité et son bon sens. Le magazine de fumetti d’horreur italien Terror Blu consacrait son numéro 105 à l’innommable vérité qui se tapit subreptiscement derrière le vernis grand public de CoM.

La Nuova Razza

La Nuova Razza (La nouvelle race) est l’histoire terrifiante de spermatozoïdes carnivores venus de l’espace dont l’unique but est de dévorer le genre humain avec délectation, en commençant par le morceau le plus juteux.

La Nuova Razza

Plus de détails graphiques après l’interlude, pour préserver la paix dans vos bureaux intégristes.

(suite…)

barbie massacre

30 octobre 2007, posté par Stahlhelm

Barbie Massacre
Barbie a perdu la tête © catgalx@gmail.com

Les férus de justice humblement cachés derrière le magnifique barbie massacre travaillent en étroite collaboration avec les polices de la planète entière pour révéler aux yeux incrédules de profanes comme vous et moi ces horribles crimes haineux dont sont parfois victimes Barbie, Ken et leurs petits amis de plastique.

Barbie Massacre
Sanglante découverte © catgalx@gmail.com

Barbie Massacre
Barbie a (partiellement) perdu un bout de sa tête © catgalx@gmail.com

Barbie Massacre
Wal-Mart ? © catgalx@gmail.com

Merci Hugo Strikes Back!

Windows redémarre à travers les âges (Ta-taaa!)

30 octobre 2007, posté par Yves

Qui a dit qu’il n’y a que Macintosh qui est beau et que Windows c’est moche? C’est en tout cas pas ce que pense le créateur de ce clip, qui a mis bout à bout tous les écrans de démarrage de Windows depuis les versions super sobres et purement textuelles, en commençant par la v.1.01, jusqu’au rayonnements translucides et musicaux de Vista. Ya du progrès et des efforts, alors pas de commentaires moqueurs (à part pour le son qu’ils avaient choisi pour la v.3.1 quand même hein)…

D’une simple photo à un modèle en 3D

29 octobre 2007, posté par Yves

Les petits gars de chez Singular Inversions ont développé le logiciel FaceGen dont vous n’allez sûrement jamais vous servir et moi non plus, vu qu’il s’adresse surtout aux pros de la modélisation 3D, pour les jeux vidéos et autres effets spéciaux de films. Alors oui je sais, encore une vidéo, tout ça, mais leur démonstration est tellement digne d’un film de science-fiction à la limite du « mais c’est impossible, arrête tout de suite!!! » que je me devais de partager ça avec toi, ami de lll et des choses qui font faire « ouaaaa » et se trépigner un peu dans son fauteuil. Le plus beau est à la fin, alors il faut être un peu patient au début quand ils expliquent comment ça marche.

Unité Inhabitée #11

26 octobre 2007, posté par Yves

Yawza!! Cyriak Harris est un animateur/graphicdesigner/illustrateur qui travaille en freelance depuis Brighton (UK), et qui dit sur son site qu’il cherche du boulot si vous avez besoin de lui. D’autres vidéos disponibles sur sa page YouTube et sur son site perso forcément.

Sako Kojima, femme-hamster

23 octobre 2007, posté par Stahlhelm

Sako Kojima
© Sako Kojima

Qui a osé dire un jour avec une inconscience suicidaire que les furries, c’était quand même marrant et chou et qu’on leur souhaitait longue vie et prospérité ? Le (ou la) malheureux (-x +se) aura certainement déjà expié ses crimes dans un sombre caniveau derrière les fagots d’une honte insoutenable.

I don’t know the situation of neighboring country
I don’t know the situation of neighboring country © Sako Kojima, 2007

J’avoue bien être moi-même un fieffé fétichiste sous certains angles et surtout selon les phases de la lune, mais les furries ont toujours été les pires ennemis de mon contenu stomacal et les meilleurs amis de mon envie de m’acheter une batte de baseball. Et c’est bien pour cette raison que jamais je n’aurais pensé même sourire à la face d’une vidéo mettant en scène l’une de ces abominables créatures.

Vous me direz que Sako Kojima a les avantages combinés d’être Japonaise et d’être une artiste avec assez de talent et de folie pour sculpter un agneau léchant son propre anus. Et ça, ça vous change la perception d’un homme, aussi rude et patiné soit-il :

I can be alone 2
I can be alone 2 © Sako Kojima, 2007.

Selon l’humeur, cette jolie petite bougresse a ainsi passé de 3 à 6 jours enfermée dans une cage à imiter l’humble geste de la vie quotidienne d’un hamster, grattant ici les murs de son enclos et rongeant là de petits morceaux de bois sous les yeux de visiteurs incrédules. La vidéo ci-dessous est tirée du passage de l’artiste et de son doux pelage à la Maison folie de Wazemmes lors de l’événement culturel Lille 2004.

I use a variety of medium including sculpture, performance, photography and drawing to explore the people of modern society. At present I’m interested in the psychology of diseased human psychology for the civilized world, because it’ s the almost same as my pain. Human is thinking animal therefore, we tire, sad, go mad. I ‘m thinking, I want to become just a small animal, because they don’ t meditate, they aren’ t thinking deep.It’ s the reason, I’ m doing animal performance. But all of my works are rather optimistic than gloomy. At first sight, the works appear unique and cute but after time the works show a sense of irony pain and sadness of individual human experience.

Merci we make money not art.

Un podcast qui vous décolle les oreilles

23 octobre 2007, posté par Marc

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Étui d’iPod version martienne © ifrogz, 2007

Il était une fois un petit podcast de derrière les fagotzons, modeste mais ambitieux, qui à coups d’histoires déjantées avait fini par imposer sa dictature de l’imaginaire dans tous les conduits auditifs de l’Univers recensé. Il s’appelait utopod et sévissait via les bits d’iTunes ou de tout autre agrégateur connu. Il s’accompagnait d’un site aux petits oignons, où tout était expliqué pico bello : www.utopod.com.

Vous l’aurez compris : votre humble serviteur — et à travers lui le collectif lilelaïque — se laisse aller à un peu de pub entre copains. Mais c’est pour le bien de l’humanité. Et puis je fais ce que je veux, d’abord.

Utopod, donc, c’est de l’or en barre. Concrètement, c’est une émission de radio disponible sur Internet via un abonnement gratuit (c’est du podcast, du vrai). Elle balance régulièrement des lectures à voix haute de nouvelles littéraires issues des genres de l’imaginaire (fantastique, merveilleux, science-fiction, horreur, réalisme magique, etc.), et les textes sont pondus par les plus grands auteurs francophones du moment : Xavier Mauméjean, Johan Heliot, Jean-Marc Agrati, Joël Champetier, Jean-Pierre Andrevon et bien d’autres.

En quelque sorte, c’est le retour tant attendu des feuilletons radiophoniques de mère-grand. Un verre de damassine à la main, un feu qui crépite dans l’économiseur d’écran de votre ordi, les gamins sous la couette et votre mari/femme à vos côtés, et c’est parti pour une demi-heure de pur bonheur.

Au programme de chaque épisode : 1. une petite intro à propos de l’œuvre et de l’auteur ; 2. la lecture à proprement parler ; 3. un épilogue réservé aux niouzes du monde de l’édition.

Pour s’abonner gratuitement, il suffit de suivre les instructions données ici. C’est rapide et simple comme ne pas faire de politique. Et personne ne vous empêche par la suite de supprimer de votre bécane l’un ou l’autre des épisodes ou — tout simplement, mais c’est déconseillé — de vous désabonner.

Bref, c’est facile, pas contraignant pour un sou et, surtout, ça rafraîchit le bulbe.

Si vous ne me croyez pas, tentez l’expérience, écoutez le tout dernier épisode d’utopod, une histoire complètement barrée de sodomie qui tourne mal : « On foutait que dalle », de Jean-Marc Agrati.

Hyperactivité spasmodique des zygomatiques au contour…

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Un bébé vampire et le PDG de Microsoft en train de faire l’apologie d’utopod. Photo © CrazyAppleRumors

L’invasion continue

23 octobre 2007, posté par Marc

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Un envahisseur à Ljubljana, en mars 2006

Depuis huit ans, un illustre inconnu s’évertue — avec un brin de nostalgie geek et pas mal d’humour — à poursuivre une invasion débutée il y a une trentaine d’années. Space Invaders, jeu vidéo primal, initial, développé par la société japonaise Taito à la fin des années soixante-dix, a habité notre enfance, nos vacances et nos rêves de terraformations cosmiques alors que bon nombre d’entre nous en était encore à apprendre le livret 2.

Space Invader, un artiste urbain qui opère dans l’anonymat, a déjà posé dans quelque 35 villes du monde des mosaïques de vaisseaux spatiaux à la mode seventies, faisant fi de l’avis des proprios et de la maréchaussée. Le but de l’opération ? Coloniser le monde, rien de moins. Sur le site de cet activiste d’un genre nouveau, vous trouverez un plan d’attaque ainsi que de nombreuses photographies de lieux contaminés par ces joyeuses bestioles en Pixel Art venues d’un autre monde et… d’un autre temps.

Les quatre saisons

17 octobre 2007, posté par Stahlhelm

Un gars s’est admirablement amusé de ses dix doigts et a prouvé une fois de plus que Photoshop, c’est quand même le meilleur ami de l’homme virtuel en créant ces superbes photos où les quatre saisons se rencontrent au sommet :

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4saisons002.jpg

4saisons003.jpg

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Et voici la série complète.

Merci The Presurfer.

AgeMaps

10 octobre 2007, posté par Yves

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Photos © Bobby Neel Adams

Bobby Neel Adams fait des photos qui ne laissent pas indifférent. A la fois caressage de joue et attrapage de bras soudain comme dans un film de zombie. Ses galeries ont quelque chose de profondément beau et dérangeant à la fois.

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Photos © Bobby Neel Adams

AgeMaps présente deux portraits de la même personne, pris à des années d’intervalle, et superposés en un seul visage. Le sourire et le regard restent les mêmes avec le temps.

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Photos © Bobby Neel Adams

Family Tree superpose des portraits de parents et enfants et incarne une famille en une seule personne.

D’autres portraits et galeries sur le site de Bobby Neel Adams


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